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Tremblay, Diane-Gabrielle

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Biographie

 

 

Diane-Gabrielle Tremblay a gradué à l’université de Montréal en 1977. Bachelière spécialisée en tranduction-langues, celle-ci poursuivi ses études à l’université du Québec à Montréal où elle obtiendra un deuxième baccalauréat cette fois en science économique en 1981, C’est en 1984 qu’elle décrochera une maîtrise en science économique de l’université du Québec à Montréal et entamera aussitôt des études de troisième cycle à l’université Paris I, Panthéon Sorbonne. Elle acquerra en 1985 un diplôme en économie du travail et des ressources humaines et un diplôme de troisième cycle en sociologie du travail en 1986 (Université de Paris VII). C’est finalement en 1989 que celle-ci recevra son doctorat en science économique émit par l’université de Paris I, Panthéon-Sorbonne. Professeure titulaire depuis 1988, Madame Tremblay est directrice de la recherche à la Télé-Université depuis 1995. Celle-ci oriente ses recherches, dans le cadre de ce groupe de recherche, principalement au niveau de la formation à distance, des nouvelles technologies en formation ainsi qu’à la conciliation travail-famille.

 

 

De plus, Madame Tremblay est co-titulaire de la Chaire Bell Canada Téluq-Enap en technologies et organisation du travail (www.teluq.uquebec/chairesbell). Cette chaire de recherche à pour mandat de « mieux cerner et de mieux comprendre le processus d’adoption des TIC et de changements organisationnels, et ainsi soutenir les façons d’intervenir et d’accompagner les processus de changements » (www.teluq.uquebec/chairesbell, 2009). Réalisant que les TIC sont partis prenantes des organisations, l’orientation des recherches n’est donc pas de se questionner quant à promouvoir ou non leur implantation mais bien réfléchir sur aux impacts de ces implantations et aux différentes utilisations possibles (www.teluq.uquebec/chairesbell, 2009). En ce sens, Diane-Gabrielle Tremblay, oriente une partie de ces recherches au  sein de cette chaire à l’étude des genres en lien avec les nouvelles technologies.

 

 

Madame Tremblay est aussi titulaire de la chaire de recherche du Canada (niveau 1) sur les enjeux socio-organisationnels de l’économie du savoir (http://www.teluq.uquebec.ca/chaireecosavoir). Cette chaire de recherche œuvre au sein de trois axes principaux soit : « la collaboration et les réseaux d'entreprises, la technologie et l’organisation du travail et finalement l’articulation de vie professionnelle et la vie personnelle ». (chaire de recherche du savoir, 2009). À l’intérieur de cette chaire, celle-ci articule particulièrement son travail autour du troisième axe de recherche en orientant ses travaux sur la thématique de la conciliation emploi–famille, du temps de travail et de l’équité du travail homme femme.

 

 

Diane-Gabrielle Tremblay a aussi fait paraître nombre de livres de 1984 à nos jours. Une partie de ces premiers livres étaient orientés à la pédagogie et étaient réalisés sous forme de manuels scolaires destinés à des étudiants en sociologie ou en éducation. C’est à partir de 1988 que Madame Tremblay orientera ces publications vers l’étude des organisations et des technologies. Tout au long de son parcours, nombres d’ouvrages son destinés à l’étude des organisations, des impacts des nouvelles technologies sur ceux-ci, des nouvelles formes de travail et finalement, maints articles et ouvrages son consacrés à l’étude des genres en lien avec les différents aspects listés précédemment. Elle a, de plus, co-signé plusieurs ouvrages avec Jean-Marc Fontan spécialisé en sociologie économique, en inégalités sociales et en transformations sociales.

 

 

Madame Tremblay est aussi membres de plusieurs associations et chercheuses apparentés à différentes institutions. Elle est ainsi membre de l’Ordre des conseillers en ressources humaines et relations industrielles agréé du Québec, chercheure associée au centre CRISES-UQAM (Centre de recherche en innovation sociale), et au centre CEFRIO (Centre francophone pour l’informatisation des organisations). Elle est de plus autre membre du comité scientifique international de l’Institut pour le développement des technologies (INIDET), associé au GLYSI-CNRS-France; membre du comité scientifique international de l’Institut franco-chinois de Canton (pour la recherche sur les transferts de technologies et l’organisation du travail) (http://www.teluq.uquebec.ca/chaireecosavoir/cvdgt/.

 

 

Rétrospectives des ouvrages

 

 

Au cours de sa carrière de chercheuse, Madame Diane-Gabrielle Tremblay a fait des ouvrages plutôt techniques lequel cette biographie a volontairement fait le choix de ne pas se pencher. Ainsi, ce sont les ouvrages plus théoriques à tendance plus constructivistes qui ont été retenus. Au sein de ces œuvres, trois grandes tangentes semblent se dessiner soit : le « savoir », les nouvelles technologies et l’organisation du travail. Cependant, une ligne directrice semble traversée ces trois axes; l’étude des genres. Ainsi, l’auteure se penche sur la réalité homme-femme tant au niveau des nouvelles technologies et leur utilisation, de la formation et d’éducation qu’au niveau de l’organisation même du travail. Afin de permettre au lecteur une meilleure compréhension des ouvrages de Madame Tremblay, il a été décidé de présenter ces trois axes principaux reliant l’ensemble des ouvrages sélectionnés. Finalement, une dernière partie sera allouée à l’étude des genres et l’usage de ce thème à travers les différents ouvrages présentés.

 

 

Le savoir

L’auteure s’est penchée sur le thème du « savoir » principalement au sein de la Chaire de recherche du Canada sur les enjeux socio-organisationnels de l’économie du savoir. Le savoir y est étudié principalement en lien avec les organisations. Ainsi, Tremblay se positionne face au savoir et à l’organisation en énonçant que « Les tenants de ce nouveau mode économique considèrent que le « savoir » a remplacé les ressources naturelles et le travail physique comme outils de développement économique. » (FONTAN et TREMBLAY, 2006). De ce fait, le savoir est ici vu à son sens large, entres autres, comme une ressource organisationnelle. À l’intérieur de ce premier axe, nous incluons aussi la formation et l’apprentissage. D’autres ouvrages rédigés par l’auteur se penchent sur l’étude des différents modes d’apprentissages. Directrice du centre de recherche de la Télé-Université, plusieurs de ces recherches se penchent sur l’apprentissage à distance et ces impacts. Lors de ces différentes études, Madame Tremblay traite de la formation dans les entreprises. Son regard, plutôt critique face à la formation, ne s’oppose pas tellement à la formation elle-même mais plutôt aux différents processus que les entreprises devraient mettre en place afin de faire bénéficier les différentes instances organisationnelles de cette même formation (TREMBLAY, 2003). Ainsi, maintes études aux seins des organisations présentes les lacunes face à la mise en place et la vision de la formation (TREMBLAY 2006).

 

 

Les nouvelles technologies

Au sein de cet axe de recherche, Diane-Gabrielle Tremblay étudie les différentes technologies maintenant disponibles en organisations. Tel que mentionner dans la section biographique, la Chaire de Recherche de Chaire Bell Canada Téluq-Enap en technologies et organisation du travail ne remet pas en questions ces différentes technologies, mais se penche plutôt sur leurs utilisations. Ainsi, Madame Tremblay s’est penchée à travers différentes recherches, à l'emploi du télé-travail (TREMBLAY, CHEVRIER, DI LORETO, 2007, TREMBLAY 2003, TREMBLAY GENIN, 2008). Au-delà de la simple utilisation, Tremblay se questionne quant aux différents acteurs utilisant ce système, les raisons qui les mènent à l’utiliser ce système et les conditions de travail reliés à ces nouvelles technologies. Ces recherches sont donc des études en entreprises, positionnant clairement les différentes entreprises au sein de la société. Elle prend donc en compte les éléments sociaux et culturels pour mettre en lumière les différentes conditions liés à ces technologies.

 

 

L’organisation du travail

Cette tangente de ses recherches met en lumière les différentes façons dont les entreprises et les individus organisent leur travail. Tremblay y étudie donc les différentes organisations possibles du travail. Entres autres, Madame Tremblay étudiera la condition des travailleurs et travailleuses autonomes, la conciliation travail-famille (TREMBLAY et GENIN, 2008) et les horaires de quatre jours de travail par semaine (TREMBLAY, NAJEM et PAQUET, 2006)  . Ces différentes recherches tentent de mettre en lumière les différents aspects entrant en ligne de compte lorsque l’on décide de cerner ces différentes réalités. Ainsi, Madame Tremblay orientera certaines de ces recherches à la compréhension des motivations des travailleurs à modifier leur horaire de travail, aux besoins tant des employés que des employeurs face au nouvelles « réalités » tant organisationnelles que sociales et arrivera à des conclusions bien différentes que plusieurs auteurs. Constatant entre autre la prédominance de la motivation financière des employés est au devant des considérations de la consolidation travail-famille pour les travailleurs autonomes alors qu’il s’agit d’un frein à la modification des horaires à quatre jours de travail par semaine, homme femme confondus.

 

 

L’étude des genres

Nombres d’études de Madame Tremblay se recoupent dans cette catégorie. En effet, que Tremblay étudie les nouvelles technologies ou encore les différents modes d’organisation du travail, l’étude des genres y est centrale. Ainsi, celle-ci s’est penchée sur l’appropriation homme-femme des nouvelles technologies, des distinctions relatives entre les genres face à la gestion du changement dans les organisations (TREMBLAY, 2004) et les différentes articulations entre la vie privée et la vie professionnelle des hommes et des femmes (TREMBLAY et GENIN, 2008).  Il est à noter que Tremblay n’oriente pas uniquement ses études en fonction de l’étude des femmes dans un monde d’hommes, mais se questionne sur le genre, sans prendre position. Par exemple, celle-ci à orienter l’une de ses recherches à « identifier les obstacles organisationnels et socioculturels qui pourrait permettre d’expliquer une plus faible participation des pères aux activités familiales » (TREMBLAY, 2003). Ces différentes études au sein de cet axe de recherche prennent donc en considération plusieurs éléments sociaux. De surcroît, dans plusieurs études cernant la problématique de la conciliation travail-famille, Tremblay ne prendra pas uniquement en considération les outils disponibles et le nombre de personnes les utilisant, mais orientera aussi c’est recherches afin de comprendre les raisons qui poussent ces gens à les utiliser ou non (TREMBLAY, CHEVRIER et DI LORETO, 2007; TREMBLAY et GENIN, 2006;TREMBLAY, AMHERDT et DE SÈVE, 2005, 2006; TREMBLAY, 2003; TREMBLAY et VAILLANCAOURT-LAFLAMME, 2003).  Finalement, dans l’une de ces recherches,Tremblay étudie le phénomène du télé-travail sous l’angle de la segmentation des femmes dans les entreprises. Son hypothèse de base, qu’elle justifiera par ses observations en entreprise, est que les emplois les plus propices au télé-travail sont des emplois majoritairement réalisés par des femmes (comptabilité, traduction) et que ces mêmes emplois n’étant pas régis par un ordre particulier, les conditions de travail y sont souvent plus précaires (TREMBLAY, 2003).


Justification constructiviste

 

 

Dans le cadre de cette section, l’auteure Diane-Gabrielle Tremblay sera étudiée afin de cerner son orientation épistémologique. Pour ce faire, l’orientation de ces recherches sera étudiée afin de comprendre dans quel paradigme elle s’inscrit. De plus, c’est ses différentes visions de l’organisation et du savoir qui viendront justifier son insertion au mouvement constructiviste. Le constructivisme est un paradigme large, et nous avons tendance à nous associer aux propos de Lynch lorsque celui-ci, dans ses efforts de créer une généalogie constructiviste, mentionne :

 

 

« Si la connaissance produite par ces groupes constitue un tout, c’est moins par le fait d’une adhésion commune à un dogme, de l’existence de protocoles techniques, d’auteurs majeurs ou d’idéologies bien définies que par l’adoption d’une attitude tolérante envers la diversité des voix capables de s’exprimer. » (Lynch, 1998, page 225)

 

 

C’est donc avec cette vision du constructivisme que nous tenterons de présenter les éléments qui font de Madame Tremblay une chercheuse s’inscrivant dans ce paradigme. Nous articulerons donc en trois temps cette justification. Dans un premier temps, les différents thèmes qu’elle propose s’inscrivent dans le mouvement des « culturals studies » eux-mêmes s’inscrivant dans le mouvement constructiviste. Ainsi, dans le cadre de cette première section, une brève définition des culturals studies sera présentée ainsi que les éléments justifiant l’insertion de Tremblay au sein de ce mouvement. Dans un deuxième temps, certains aspects de sa vision des organisations et du savoir seront dépeints afin d’appuyer sa position constructiviste. C’est en ce référant au modèle proposé par Keuchayan que nous tenterons de voir dans quelle branche constructiviste Tremblay s’embranche en maintenant cependant la vision de Lynch et sa perception des différents dogmes constructivistes. Finalement, un aperçu des impacts et des concepts-clés présentés par l’auteure sera élaboré.

 

 

Le mouvement des culturals studies est née en 1970, ce mouvement se penche principalement sur les études des cultures et des sous-cultures en lien avec les relations de pouvoir. Ce mouvement ce penche donc, d’un regard critique, sur la politique en son sens large. De plus, ce mouvement étudit la répartition des savoirs et des pouvoirs en lien avec l’étude des minorités et des genres. Les études présentées plus hauts de Madame Tremblay dans la section étude des genres s’inscrivent bien dans ce mouvement. En effet, ces questionnements sociaux sur l’utilisation des différentes technologies et des différents processus de travail par les genre oriente bien ses recherches au sein des cultural studies. De plus, ce mouvement prend en considération les processus dans leur ensemble en tentant de cerner le plus largement possible les différentes dynamiques.  De ce fait, nous pouvons établir l’insertion de Tremblay au cultural studies par sa nécessité à étudier non pas justes certains phénomènes mais les impacts au sens large des différents phénomènes qu’ils soient technologiques ou organisationnels. De plus, la chaire Bell Canada Téluq-Enap en technologie et organisation du travail dont elle est co-titulaire à pour thèmes privilégiés :« Appropriation des technologies, selon le genre, par les organisations québécoises : comparaison privé-public ; Appropriation du changement organisationnel, selon le sexe, selon le type d’organisation; Incidence de ces nouvelles technologies sur l’organisation du travail (effets différenciés selon le sexe, les catégories socioprofessionnelles, les secteurs d’activités, etc. » (Chaire Bell Canada Téluq-Enap en technologie et organisation du travail, 2009). Ces thèmes, directement en lien avec les culturals studies, viennent confirmer l’insertion de Madame Tremblay tant par ses associations à différents mouvements de recherches que par ses ouvrages propres.

 

 

La vision de Tremblay dans nombre de ses ouvrages en est une constructiviste. Ainsi, en tentant de décrire sa vision de l’efficacité organisationnelle, celle-ci précisera : « : « cette définition exige que l’on accepte qu’une telle chose nommée « efficacité organisationnelle » n’existe pas en elle-même, qu’il s’agit en fait d’un construit résultant de représentations ou de prises de position à l’égard d’une organisation. » (TREMBLAY et AUDEBRAND, 2003, p.3). Cette définition pourrait ici s’inclure au sein de la typologie constructiviste de Keuchayan. Ainsi, considérant que l’essence de l’être est construite, la vision de l’efficacité organisationnelle est, selon Tremblay, construite socialement. Ce construit, tel que mentionné dans sa définition est construit de « représentation ou de prises de position à l’égard de l’organisation ». De ce fait, nous pourrions avancer que selon Tremblay la construction est sociale. Ainsi, selon la typologie de Keuchayan, celle-ci s’inscrirait dans la réalité sociale. De cette même réalité sociale, les « culturals studies » semble si apparenter permettant de justifier une fois de plus la position de Tremblay.

 

 

« Ainsi, le principal frein au développement du télétravail ou d’autres nouvelles formes d’organisation du travail n’est pas la technologie, mais bien la force d’inertie des organisations (Korte, 1988; Tremblay, 2001, 1996).

 

 

Une grande partie des recherches effectuées par Diane-Gabrielle Tremblay est réalisé pour des entreprises ou des organismes gouvernementales. Sa vision constructiviste des organisations et des nouvelles technologie permet d’Avoir un impact direct sur des individus et des organisations qui pourraient être orienté de manière plutôt rationnelles. Ainsi, par l’approche constructiviste, Tremblay est en mesure de faire écho auprès de plusieurs gestionnaires et chercheurs quant à leurs visions des organisations et du travail. Sa contribution au sein de la société est, selon nous, majeure par l’apport d’une nouvelle vision de la réalité et des enjeux actuelles. Entres autres, celle-ci écrit t-elle :

 

 

« Pour mieux comprendre le monde de l’institutionnel et son importance clé pour assurer le fonctionnement et la transformation du système sociétal mondial, il nous faut revoir la façon de penser la réalité, les rapports de domination et les voies d’émancipation. Plus que jamais, des passerelles sont à établir entre l’univers de l’institutionnel et le royaume de l’action sociale dans ses déclinaisons économique, sociale, politique ou culturelle. » (introduction de la revue intervention économique : http://www.teluq.uquebec.ca/pls/inteco/rie.entree?vno_revue=1, 2009)

 

 

Par ricochet, sa contribution au sein de notre société permet aussi une contribution au niveau du mouvement constructiviste en soi. Puisque celle-ci permet à un plus grands nombre d’étudier différentes réalités avec cette lunette et ainsi promouvoit en quelque sorte ce nouveau paradigme.

 

 Bibliographie 

 

AVGEROU, Chrisanthi (2000). « IT and Organizational Change : An Institutionalist Perspective », Information, Technology & People, 13(4), p. 234-262.

 

 

DARCHEN, Sébastien et Diane-Gabrielle TREMBLAY (2008), « Les milieux innovateurs et  la classe créative : revue des écrits et analyse de leur application en milieu urbain », In  Interventions économiques no 37.http://www.teluq.uquebec.ca/pls/inteco/rie.entree?vno_revue=1

 

 

DARCHEN, Sébastien et Diane-Gabrielle TREMBLAY (2008). « La thèse de la «classe créative» : son incidence sur l’analyse des facteurs d’attraction et de la compétitivité urbaine ».  In  Interventions économiques no 37. http://www.teluq.uquebec.ca/pls/inteco/rie.entree?vno_revue

 

 

FONTAN, J.-M. (2006). « La compétitivité urbaine à l’ère de la nouvelle économie : enjeux et

défis – réflexions conclusives », dans D.G. Tremblay et R. Tremblay (dir.), La compétitivité

urbaine à l’ère de la nouvelle économie – enjeux et défis, Québec, Presses de l’université du

Québec, p. 387-406.

 

 

KORTE, W.B. (1988). « Telework – Potential, Inception, Operation and Likely Future Situation », dans Telework, Present Situation and Future Development of New Forms of Work Organization, W.B. Korte, S. Robinson et W.J. Steinle (ed), North Holland, Elsevier Science Publishers B.V., p. 159-175.

 

 

LYNCH, Michael (1998), « Vers une généalogie constructiviste du constructivisme social »,

tiré de The Politics of Constructionism, (sous la direction de Irving Velody et Robin Williams), Sage Publications Ltd, Londres.

 

 

TEBOURBI, Nadia, sous la direction de Diane-Gabrielle TREMBLAY (2000), « L’apprentissage organisationnel : Penser l’organisation comme processus de gestion des connaissances et de développement des théories d’usage. » Document utilisé dans le cadre du cours RIN 4120 de la Télé-université, Septembre 2000, http://www.teluq.uquebec.ca/chairebell/html/main.htm

 

 

TREMBLAY, Diane-Gabrielle et FONTAN Jean-Marc (1994). Le développement économique local; la théorie, les pratiques, les expériences. Québec: Presses de l'Université du Québec. 579 pages.

 

 

TREMBLAY, Diane-Gabrielle et Catherine VAILLANCAOURT-LAFLAMME(2003) « Réduction du temps de travail et conciliation emploi-famille: les arbitrages entre revenu et temps dans le contexte économique actuel » Chaire de recherche du Canada sur les enjeux socio-organisationnels de l’économie du savoir, http://www.teluq.uquebec.ca/chaireecosavoir/html/notes_fs.htm

 

 

TREMBLAY, Diane-Gabrielle (2003), « Telework: A new mode of gendered segmentation » Canadian Journal of Communication, Vol 28, No 4.

 

 

TREMBLAY, Diane-Gabrielle (2003), « Balancing Work and Family with Telework? Organizational Issues and Challenges for Women and Managers », Article paru dans Women in Management . Manchester: MCB Press. Volume 17 issue 3/4. pp157-170.

 

 

TREMBLAY, Diane-Gabrielle, (2003). « Articulation emploi-famille et temps de travail : L’offre de mesures de conciliation et les usages différenciés du temps chez les pères et les mères » Chaire de recherche du Canada sur les enjeux socio-organisationnels de l’économie du savoir, http://www.teluq.uquebec.ca/chaireecosavoir/html/notes_fs.htm

 

 

TREMBLAY, Diane-Gabrielle, (2003). « Les communautés virtuelles de praticiens :

vers de nouveaux modes d'apprentissage et de création de connaissances ? » Chaire de recherche du Canada sur les enjeux socio-organisationnels de l’économie du savoir, http://www.teluq.uquebec.ca/chaireecosavoir/html/notes_fs.htm

 

 

TREMBLAY, Diane-Gabrielle et Charles-Henri AMHERDT, (2003) « La vie en double : Obstacles organisationnels et socioculturels à la conciliation emploi / famille chez les pères et les mères », Chaire de recherche du Canada sur les enjeux socio-organisationnels de l’économie du savoir, http://www.teluq.uquebec.ca/chaireecosavoir/html/notes_fs.htm

 

 

TREMBLAY, Diane-Gabrielle (2003). « Le télétravail : Ses impacts sur l’organisation du travail des femmes et la conciliation emploi-famille » Chaire de recherche du Canada sur les enjeux socio-organisationnels de l’économie du savoir, http://www.teluq.uquebec.ca/chaireecosavoir/html/notes_fs.htm

 

 

TREMBLAY, Diane-Gabrielle (2005), Réseaux, clusters , communautés de pratique et développement des connaissances. Work, family and aging; towards a new articulation of social times over the lifetime ?

 

 

TREMBLAY, Diane-Gabrielle, Charles-Henri AMHERDT et Monique K. DE SÈVE (agente de recherche) (2005) « La conciliation emploi-famille: des mesures à développer dans les milieux de travail », Chaire de recherche du Canada sur les enjeux socio-organisationnels de l’économie du savoir, http://www.teluq.uquebec.ca/chaireecosavoir/html/notes_fs.htm

 

 

TREMBLAY, Diane-Gabrielle et Monique K. De Sève (agente de recherche),  (2005) « La conciliation emploi-famille et le temps de travail: Analyse de cas dans les secteurs de

l’éducation de la santé et des services sociaux », Chaire de recherche du Canada sur les enjeux socio-organisationnels de l’économie du savoir, http://www.teluq.uquebec.ca/chaireecosavoir/html/notes_fs.htm

 

 

TREMBLAY,Diane-Gabrielle, Elmustapha NAJEM et  Renaud PAQUET (2006) « Articulation emploi-famille et temps de travail : De quelles mesures disposent les travailleurs canadiens et à quoi aspirent-ils? » Chaire de recherche du Canada sur les enjeux socio-organisationnels de l’économie du savoir,

http://www.teluq.uquebec.ca/chaireecosavoir/html/notes_fs.htm

 

 

TREMBLAY, Diane-Gabrielle et R. TREMBLAY, (2006), La compétitivité urbaine à l’ère de la nouvelle économie – enjeux et défis, Québec, Presses de l’université du Québec.

 

 

TREMBLAY, Diane-Gabrielle, Catherine CHEVRIER et Martine DI LORETO (2007).

« Le télétravail comme nouvelle forme d’organisation du travail », Télé-université

Chaire Bell en technologies et organisation du travail, Montréal, http://www.teluq.uquebec.ca/chairebell/html/main.htm

 

 

TREMBLAY, Diane-Gabrielle, Catherine CHEVRIER et Martine DI LORETO (2007), Self-Employment: « A better reconciliation of personal and professional life …or more crossover in social times? », http://www.teluq.uquebec.ca/chairebell/html/main.htm

 

 

TREMBLAY, Diane-Gabrielle et Émilie GENIN (2008), « Choisir le travail autonome : le cas des travailleurs indépendants de l'informatique », Chaire de recherche du Canada sur les enjeux socio-organisationnels de l’économie du savoir, http://www.teluq.uquebec.ca/chaireecosavoir/html/notes_fs.htm

 

 

TREMBLAY, Diane-Gabrielle et Émilie GENIN (2008), « Temps professionnel et temps personnel des hommes et des femmes : une comparaison France – Québec », Chaire de recherche du Canada sur les enjeux socio-organisationnels de l’économie du savoir, http://www.teluq.uquebec.ca/chaireecosavoir/html/notes_fs.htm

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