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Morin, Edgar

Page history last edited by Olivier G. 15 years, 2 months ago

Qui est Edgar Morin ? Petite biographie d’un grand homme

Né Edgar Nahoun à Paris le 8 juillet 1921 de parents juifs sépharades, il devient orphelin de mère à l’âge de 10 ans. Cet événement tragique le marque profondément et sera le levier de nombreuses réflexions et de nombreux écrits.  Il est élevé par son père, qui ne lui transmet pas de rites, ou traits culturels ou connaissances particulières relatifs à ses racines, ce qui crée chez l’enfant Edgar un trouble identitaire qui durera jusqu’à l’âge adulte.  Il construit son chemin de façon autodidacte dès l’adolescence, alors que les romans, les livres et le cinéma sont pour lui des révélations. Résurrection, Crime et châtiment et le film Le Chemin de la vie ont eu une résonnance particulière.

Il s’engage dès les années trente comme militant politique (pacifique et antinazi), puis dans la Résistance au moment de la deuxième guerre mondiale. Il est alors dans la jeune vingtaine. C’est à cette époque qu’il côtoie Marguerite Duras, Dyonis Mascolo, Robert Antelme et François Mitterand. « Cet engagement dans le combat collectif contre l’oppression et pour un changement radical de la société est une expérience d’une importance décisive pour lui et pour son œuvre. »[1] 

Il entre au CNRS (Centre national de la recherche scientifique) en 1950 et entreprend alors des travaux de sociologie. « Il s’intéresse très vite aux pratiques culturelles qui sont encore émergentes et mal considérées par les intellectuels »[2]. Il travaille sur le terrain, se mêlant aux sujets de recherche (il passe d’ailleurs de longs mois dans une commune où il effectue une étude), lui qui refuse la forme que prend le travail de sociologue, à l’époque (et encore aujourd’hui?), davantage axé sur les questionnaires et les entrevues. Il cofonde la revue Arguments en 1957, qui lui permet une « repensée politique radicale ».

Les années soixante sont caractérisées par une « traversée du désert », durant laquelle il tombe malade. Sa longue convalescence lui permettra de poursuivre ses réflexions (sur l’homme et sa nature, mais aussi sur l’homme et la société). Il lui apparaît alors primordial de méditer et c’est dans un contexte paradisiaque, dans le sud de la France, qu’il se retire pour penser et écrire. Son livre L’esprit du temps émerge de cette période de réflexions, livre qui met en cause la « haute crétinisation, celle de l’intelligentsia et de l’Université » et que Bourdieu met en pièces sur la place publique. C’est aussi une époque où il est invité à écrire de nombreux articles dans Le Monde et dans le Nouvel Observateur, notamment sur les événements de Mai 68.

Edgar Morin poursuit sa quête de la connaissance dans les années 70 en s’intéressant à la problématique écologique, entre autres. Il voyage en Amérique latine et en Asie, il organise des colloques internationaux bio-anthropologiques. Il amorce la rédaction du premier tome de ce qui deviendra le noyau de son œuvre : La Méthode. Ce premier tome intitulé La Nature de la Nature paraît en 1977 et reçoit un accueil favorable, dans un contexte social de crise des idées et d’érosion du structuralisme.

Aujourd’hui, il ne cesse de s’intéresser, de réfléchir, d’être présent sur la scène sociale, politique, culturelle (au sens large du terme). Il fait partie des intellectuels contemporains incontournables, bien qu’il soit convaincu de  ne pas vouloir être identifié à une catégorie spécifique, réductrice, que ce soit celle d’intellectuel ou d’une autre.

Aujourd'hui directeur de recherche émérite au CNRS, Edgar Morin est docteur honoris causa de plusieurs universités à travers le monde. Il est membre du comité de parrainage de la Coordination française pour la Décennie de la culture de paix et de non-violence. Il soutient, depuis sa création en 2001, le fonds associatif Non-Violence XXI. Il est membre du Conseil académique du Centre européen pour la paix et le développement et de l’Université des Nations Unies pour la Paix.  Il préside également l’Association pour la pensée complexe. Ses titres honorifiques ne se comptent plus et tenter de faire la liste exhaustive de ses initiatives et implications demanderait des jours (voire des semaines!), de recherche intensive.

 

Parcours intellectuel et publications

 

Les contradictions et l’interdisciplinarité

Depuis son enfance, notamment la mort de sa mère, Edgar Morin dit vivre les contradictions et intégrer leur complémentarité. Son attraction pour le doute fondamental, dès son jeune âge, l’amène à lire Montaigne, Pascal, Dostoïevski, Héraclite, Hegel, ainsi que des lectures existentialistes, comme Heidegger et Qu’est-ce que la métaphysique ?  Même durant ses années d’implication politique, dans la Résistance, il écoute les idées contraires et se refuse à adopter une pensée unique qui l’aurait conduit à enfermer les gens et les idées dans des boîtes bien séparées les unes des autres.  Son premier livre L’An zéro de l’Allemagne (1946) en est une démonstration. Dans ses travaux de sociologie événementielle (ou sur le terrain), comme dans plusieurs ouvrages, il fait la navette entre contemporain et anthropologique, puis biologique, physique et anthropologique (L’homme et la mort (1951), Le cinéma ou l’homme imaginaire (1956), L’esprit du temps (1962), La rumeur d’Orléans (1969)).

 

Il y a chez Edgar Morin cette nécessité de conjuguer deux cultures, la culture humaniste et la culture scientifique, pour les faire dialoguer ensemble et arriver à les modifier l’une et l’autre, idée qu’il développe d’ailleurs dans son livre Sociologie (1984).  Il entreprend un travail de décomposition / recomposition, comme il dit, avec la revue Arguments qu’il fonde et dans laquelle sont publiés, de 1957 à 1962, des textes d’ordre scientifique, politique, culturel et social.  Cette revue se veut un espace de dialogue, d’affrontement des thèses. C’est une période durant laquelle il dit avoir effectué une repensée politique radicale, qui donnera lieu à divers ouvrages comme Introduction à une politique de l’homme (1965), Mai 68 : la brèche (1968), puis De la Nature de L’URSS (1983), Penser l’Europe (1987) et Terre-Patrie (1993).  Il fonde en 1962 le CECMAS (Centre d’études des communications de masse) avec Georges Friedman et Roland Barthes, qu’il dirige de 1973 à 1989. Ce centre publie la revue Communications qui paraît encore aujourd’hui.

« Durant les années 1960, il part près de deux ans en Amérique latine où il enseigne à la Faculté latino-américaine des sciences sociales. En 1969, il est invité à l'Institut Salk de San Diego. Il y rencontre Jacques Monod, l'auteur du Hasard et la Nécessité et y conçoit les fondements de la pensée complexe et de ce qui deviendra sa Méthode. »[3]

Ses réflexions et ses travaux se distinguent par ce concept d’interdisciplinarité, puisant à l’une et l’autre discipline (ou spécialité) des éléments de réponse, qui entrainent nécessairement d’autres questions auxquelles une même discipline ne peut répondre seule. D’où la nécessité de faire dialoguer les multiples sources de la connaissance, bien qu’Edgar Morin ne croit pas que l’on puisse aller « au bout » d’une connaissance ou que l’on puisse connaître un sujet en totalité, toute chose étant complexe (Science avec conscience (1982), Introduction à la pensée complexe (1990), La complexité humaine (1994), L’intelligence de la complexité – en collaboration avec Jean-Louis Lemoigne (1999).

 

Il dit vivre aujourd’hui constamment avec ces contradictions et ne peut qu’aborder une idée par ce qu’elle semble être et son contraire. Dans Mes démons (1994), p.83, il dit « je pense à la fois que tout n’est qu’illusion et que pourtant cette illusion est notre seule réalité ».

 

L’éthique, l’homme et la Méthode

Ce qui frappe lorsqu’on lit Edgar Morin et SUR Edgar Morin, c’est de se rendre compte que l’intellectuel accorde autant de place à l’homme et sa vie quotidienne qu’à ses idées. En fait, il incarne lui-même ce qu’il décrit comme central, soit la complexité et l’idée que tout est lié. Ainsi, il n’a pas peur de prendre le risque d’aller dans des zones plus affectives, au contraire ! Cela lui permet de poursuivre davantage sa réflexion. Il est habité par les thèmes de communion, fraternité, compassion et tolérance. Il ressent dans sa chair toute humiliation adressée à tout être humain et affirme haut et fort n’avoir jamais méprisé l’ethnie, la religion, la classe de quiconque. Il méprise le mépris lui-même. Les notions de pardon et de rédemption sont à la source de son éthique. Il dit assumer pleinement son identité d’être humain. Les ouvrages suivants se classent davantage dans la catégorie du Vécu : Autocritique (1959), Le Vif du sujet (1969), Journal de Californie (1970), Vidal et les siens (1989), Pleurer, aimer, rire, comprendre (1996), Amour, poésie, sagesse (1999).

 

« Une authentique réflexion éthique implique d’aborder le problème de l’amour entre les humains, et cela ne se fait pas sans risque car il reste facile d’être piégé par les « bons sentiments » (…)  Edgar Morin n’hésite pas, il prend ce risque. A trois reprises, il complète ses analyses avec des notes introspectives particulièrement émouvantes sur son horreur de l’exclusion (p.115), sur les relations avec son père (p.123), sur sa culpabilité d’orphelin de mère à 9 ans (p.141). Ces notes donnent une grande force à ce texte en montrant que la réflexion éthique est celle de la vie quotidienne. »[4] Cette citation de Jean-François Le Goff en référence au tome 6 de La Méthode intitulé Éthique (2004), résume très bien cette union de l’affectif et du réfléchi que l’on retrouve partout dans l’œuvre d’Edgar Morin.

On ne peut passer outre la pièce maîtresse de son travail qu’est La Méthode, un ouvrage en six tomes, s’étalant de 1977 à 2004, dont les titres seuls évoquent la pensée complexe : La Nature de la Nature (t.1) (1977), La Vie de la Vie (t.2) (1980), La Connaissance de la Connaissance (t.3) (1986), Les Idées. Leur habitat, leur vie, leurs mœurs, leur organisation (t.4) (1991), L’Humanité de l’humanité (t.5) (2001) et Éthique (2004).  Fidèle à lui-même, Edgar Morin a employé sa propre « méthode » pour traiter de concepts clés de la philosophie comme par exemple : la connaissance, le langage, la logique, l'information, l'éthique.

Finalement, il est intéressant de relever son apport au monde de l’éducation par le biais, plus spécifique, de ses ouvrages La Tête bien faite (1999) et Les Sept Savoirs nécessaires à l’éducation du futur (2000).

À noter que les ouvrages d’Edgar Morin se trouvent dans 42 pays et ont été traduits dans au moins 28 langues, sans compter le nombre incalculable d’articles de périodiques et de journaux qu’il a écrit, seul ou en collaboration, ou qui ont été écrits à son sujet.

 

Contribution au constructivisme

Il est difficile de choisir 3 concepts clé à travers l’immense œuvre d’Edgar Morin, après l’avoir survolée. Malgré tout, certaines idées semblent être au cœur de son œuvre, comme la Pensée complexe ou la complexité du réel, le concept de reliance et celui de dialogique, trois idées intimement liées les unes aux autres. L’intention n’étant pas ici d’extrapoler sur ces idées (ce sera l’objet du deuxième travail), je ne tenterai pas d’en faire une analyse brève. Je reprendrai seulement les propos de gens qui permettent de les définir sommairement et d’illustrer la portée qu’ont pu avoir – et ont toujours - ses idées.

Pensée complexe ou complexité du réel

Edgar Morin définit la complexité ou « complexus » comme ce qui est tissé ensemble. C’est le maître mot de toute son œuvre. Il n’y a jamais de connaissance totale possible d’un objet. « La pensée complexe est une formidable assurance contre les erreurs que provoquent les certitudes», écrit Antoine Spire à la page 16 de la préface du livre Reliances. Jean-François Le Goff écrit dans la revue Thérapie familiale[5] : « Cette somme ne peut pas laisser indifférent les thérapeutes familiaux et intervenants systémiques car Edgar Morin est l’un des rares penseurs français de la deuxième moitié du XXe siècle à avoir clairement adopté un point de vue systémique; il a été l’un des premiers à élaborer et étudier la notion de complexité dont il est devenu un des représentants majeurs sur le plan international. »

Reliance

Cette notion inventée par le sociologue Marcel Bolle de Bal, qui traduit activement l’action de relier, est opposée à la déliance. Pour Edgar Morin, l’acte moral est un acte de reliance : reliance avec autrui, reliance avec une communauté, reliance avec une société et à la limite reliance avec l’espèce humaine.  On peut y joindre l’idée d’interdisciplinarité, qui cherche à multiplier les angles, à avoir un regard transdisciplinaire sur l’objet, à relier les connaissances.

Dialogique

Edgar Morin la définit comme l’unité complexe entre deux éléments qui se complètent mais aussi s’opposent. Le dialogique offre la possibilité de penser et d’agir en tenant compte des contradictions, contrairement à la dialectique qui implique le dépassement des contradictions.  L’écriture particulière d’Edgar Morin est d’ailleurs composée de mots inventés, caractéristiques du concept de dialogique, comme dans l’expression « l’unidualité de l’homme » (sa double nature biologique et culturelle, cérébrale et psychique, qui constituent son unicité) et se distingue par l’utilisation de nombreux préfixes comme dans l'invention du terme ré-auto-éco-organisation.

 

 

Conclusion

Les impacts de l’œuvre d’Edgar Morin sont nombreux. Son travail exerce une forte influence sur la réflexion contemporaine, notamment dans le monde méditerranéen et en Amérique latine. Une institution éducative alternative a été créée au Mexique en 1999, il existe une Association pour la pensée complexe, (l'APC) créée et présidée par Edgar Morin, il est reconnu par l’UNESCO comme « penseur planétaire » pour sa contribution à la connaissance et à l’éducation, en plus d’être Président de l'Agence européenne pour la Culture, à l’Unesco. De nombreux sites internet lui rendent hommage…

C’est pour moi une découverte majestueuse et je me considère privilégiée d’avoir fait cette rencontre à ce moment-ci de mon parcours. 

 


bibliographie THÉMATIQUE sélective de l’auteur

 

Pensée complexe et anthropologie fondamentale

Morin, Edgar. Reliances. Coll. «Monde en cours/Intervention ». France : éditions de l’aube, 2000.

Cyrulnik, Boris et Edgar Morin. Dialogue sur la nature humaine. Coll. «Monde en cours/Intervention ». France : éditions de l’aube, 2000.

MORIN, Edgar. Mes démons. Seuil, Coll. « Points » P528, Paris : Éditions Stock, 1994.

MORIN, Edgar. L’homme et la mort. Seuil 1951 et coll. « Points Essais », no77, 1977.

MORIN, Edgar. Introduction à la pensée complexe, ESF, 1990 et coll. « Points » 2005.

MORIN, Edgar et Jean-Louis Lemoigne. L’intelligence de la complexité. L’Harmattan, 1999.

MORIN, Edgar. Les sept savoirs nécessaires à l’éducation du futur. Paris : Éditions du Seuil, 2000.

La méthode

La Nature de la Nature (t.1), Paris : Seuil, 1977 et coll. « Points Essais », no123, 1981

La Vie de la Vie (t.2), Paris : Seuil, 1980 et coll. « Points Essais », no175, 1985.

La Connaissance de la Connaissance (t.3), Paris : Seuil, 1986 et coll. « Points Essais », no236, 1992.

Les Idées. Leur habitat, leur vie, leurs mœurs, leur organisation (t.4), Paris : Seuil, 1991 et coll. « Points Essais », no303, 1995.

L’Humanité de l’humanité (t.5). L’identité humaine. Paris : Seuil, 2001 et coll. « Points Essais », no508, 2003.

Éthique (t.6). Paris : Seuil, 2004

XXe siècle et politique

MORIN, Edgar. L’an zéro de l’Allemagne. La Cité universelle, 1946.

MORIN, Edgar en coll. avec Claude Lefort et Cornelius Castoriadis. Mai 68 : la brèche. Fayard, 1968.

MORIN, Edgar en coll. avec Anne Brigitte Kern. Terre-Patrie. Seuil, 1993 et coll. « Points » noP207, 1996.

MORIN, Edgar en coll. avec Sami Naïr. Politique de civilisation. Arléa, 1997.

Vécu

MORIN, Edgar. Autocritique. Seuil, 1959 et coll. « Points Politique », 1992.

MORIN, Edgar en coll. avec Véronique Grappe-Nahoum et Haïm Vidal Sephiha. Vidal et les siens. Seuil, 1989 et « Points » no P300, 1996.

MORIN, Edgar. Amour, poésie, sagesse. Seuil, 1997 et coll. « Points » no P587, 1999.

Articles de périodiques

MORIN, Edgar. « La communication, hier et aujourd’hui. Entretien avec Dominique Wolton ». Hermès, no38 (Février 2004) p.77-85

références

 

BIANCHI, Françoise. Le fil des idées. Une éco-biographie intellectuelle d’Edgar Morin. Paris : Éditions du Seuil, 2001.

 

 

Sites Internet

Centre Edgar Morin (Ancien Centre d’Études Transdisciplinaires, Sociologie, Anthropologie, Histoire (Cetsah) www.iiac.cnrs.fr/cetsah/

Centre national de recherche scientifique  www.cnrs.fr/accueil.php

Site brésilien sur Edgar Morin, sur sa vie et son œuvre, avec l’aval d’Edgar Morin, réalisé par la « Institución Socio Cultural Educativa » http://edgarmorin.sescsp.org.br

Site en espagnol sur Edgar Morin, sa vie, son œuvre et mettant à jour des événements à venir ou des nouvelles concernant Edgar Morin. www.edgarmorin.com

Site de la « Multiversidad Mundo Real Edgar Morin », un projet éducatif alternatif (multiversité)  créé en 1999 au Mexique, basé (entre autres) sur la théorie de la pensée complexe et l’esprit de transdisciplinarité d’Edgar Morin. www.multiversidadreal.org

Regard sur Edgar, site recensant 48 capsules vidéo d’entretiens théoriques qu’Edgar Morin a accordés à Samuel Thomas, classées par thèmes. www.samuelthomas.wordpress.com

Encyclopédie libre Wikipedia sur Edgar Morin http://fr.wikipedia.org/wiki/Edgar_Morin

 

 

Articles de périodiques

Le Goff, Jean-François. « Recensions. La Méthode 6 : Éthique Edgar Morin Éditions du Seuil Paris, 2004 ». Revue Thérapie familiale, vol. 26, no3 (Avril 2005) p.315-323.

« Edgar Morin. Plans rapprochés » Revue Communications, no82, 192 pages (Numéro entièrement consacré au parcours et aux idées d’Edgar Morin)

« Edgar Morin, mundólogo. Contemporary world philosopher. » Revue Altura, édition décembre 2007.

                       


[1] Le Goff, Jean-François. « Recensions. La Méthode 6 : Éthique Edgar Morin Éditions du Seuil Paris, 2004 ». Revue Thérapie familiale, vol. 26, no3 (Avril 2005) p.316

[2] Encyclopédie libre Wikipedia sur Edgar Morin http://fr.wikipedia.org/wiki/Edgar_Morin

 

[3] Encyclopédie libre Wikipedia sur Edgar Morin http://fr.wikipedia.org/wiki/Edgar_Morin

[4] Le Goff, Jean-François. « Recensions. La Méthode 6 : Éthique Edgar Morin. Éditions du Seuil Paris, 2004 ». Revue Thérapie familiale, vol. 26, no3 (Avril 2005) p.316

[5] idem

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